Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 1 (1829-1842)
- BE A4004 FM-REG-RPV-01
- Item
- 1829-1842
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 1 (1829-1842)
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 9 (1888-1892)
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 10 (1893-1896)
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 12 (1901-1903)
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 15 (1910-1914)
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
Registre des procès-verbaux des instances collégiales statutaires, volume 17 (1922-1927)
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La pratique de la copie faisait partie, au XIXe siècle, de la formation des artistes, et l'une des fonctions des musées des Beaux-Arts était de leur offrir de bons modèles. Ainsi, plusieurs jours de la semaine étaient à l'origine dédiés aux copistes, le musée n'ouvrant au public que les autres jours. Outre les étudiants, copiaient au musée des artistes confirmés et des copistes professionnels, travaillant sur commande ou vendant ensuite leurs œuvres au public. Le lecteur intéressé trouvera dans la bibliographie des informations détaillées sur le contexte de la copie au 19e et au début du 20e siècle (entre autres, sur les problèmes des faux et l'évolution consécutive du règlement des musées, sur l'évolution de l'enseignement et du statut de la copie).
L'enregistrement systématique des copistes, à qui était délivrée une carte d'étude leur permettant à l'origine d'accéder au musée les jours réservés, commença au musée de Bruxelles en 1843, après le rachat du musée par l'Etat. En pratique, l'on enregistrait les copistes par ordre chronologique, suivant la délivrance de la carte d'étude, d'abord dans un registre, ensuite, à partir de 1903, via un système de fiches. Le cas échéant, la correspondance et les autres documents liés au dossier de demande d'autorisation de copie étaient conservés à part, et regroupés sous le numéro inscrit au registre qui était aussi celui de la carte d'étude.
S'il est possible que le fonds ne soit pas entièrement exhaustif et que la pratique de l'administration n'ait pas toujours été exempte d'erreurs ou d'oublis, ce fonds offre des informations particulièrement intéressantes pour l'histoire de l'art.
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